Lâches,
Il y a des lâches à Toulouse.
J´étais dans la mouise la plus complète. Un groupe de gens m´ont hébergés. Parmi elleux, un ancien ami avec qui nous avions fais beaucoup de choses ensemble pendant les années Parisiennes. Au prétexte que j´aurais essayé de draguer les habitantes, illes m´ont accusés de toutes sorte de choses, m´on laissé seul à l´autre bout de la ville sans plus aucun contact pendant plusieurs années, bien qu´on évoluais dans les mêmes milieux et avions semble-t-il les mêmes buts. Illes se sont avérés staliniens. Les ragots sont allés très vite, en quelques heures, toute la maison étais au courant, puis toute la ville et sans doute les anciennes relations.
Téléphone portable, telegram, signal, en pleine réunion pour faire messes basses pour critiquer qui parle sans jamais dire un mot ouvertement.
Saisie de l´ancien ami, proche pour l´utiliser contre la personne a expulser. C´est lui qui approchera la personne et fera un procès de presque deux heures à une terrasse d´un bar. Le tout avec l´air cool et dégagé. Longue déblatération de fausse accusation, chaque fait et geste était interprété comme sournois, lascif, violeur etc etc.
diffamation. coup de couteau dans le dos, jalousie (car je m´en sortais et trouvais un moyen de vivre sans leur être dépendant, plus obtention d´un peu de sous, plus activités nouvelles plus entourage extérieur qui vin me voir, une femme. ) destruction, mensonges.
Envois d´un groupe pour détruire une nouvelle relation amicale en lui affirmant que j´étais un violeur oppresseur, pas féministe et en imposant sur elle leur influence sous leur toge blanche militante pures.
Mise en impossibilité complète de la moindre défense. Le lieu ou j´ai résidé depuis était une voiture, puis un squat dans une résidence, une ville ou je connaissais personne, ils auraient du être soutiens, moraux, ils ont été bourreaux. Et se pavanent sur des sites dédiés au modes de vie alternatifs, aux squats, au milieux libertaire.